Horizons/Théâtre n° 4 – Ethnoscénologie. Les incarnations de l'imaginaire
Horizons/Théâtre n° 4 – Ethnoscénologie. Les incarnations de l'imaginaire

Revues - Horizons/Théâtre

Horizons/Théâtre n° 4 – Ethnoscénologie. Les incarnations de l'imaginaire

ISBN : 978-2-86781-894-3
Nombre de pages : 161
Format : 16 x 24
Date de sortie : 2014/04

Née sous le signe de l’interculturalité et dédiée à l’étude des performances spectaculaires dans le monde, la revue Horizons/Théâtre ne pouvait faire autrement que de rencontrer l’ethnoscénologie.

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Née sous le signe de l’interculturalité et dédiée à l’étude des performances spectaculaires dans le monde, la revue Horizons/Théâtre ne pouvait faire autrement que de rencontrer l’ethnoscénologie. Ce quatrième numéro accueille quelques-uns des travaux présentés lors de la Journée de la Recherche/Research Day qui a clôturé le colloque international d’ethnoscénologie, tenu à la Maison des Cultures du Monde, à Paris, à l’Université de Paris 8 et à la Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord du 21 au 23 mai 2013. L’intention était de faire se rencontrer chercheurs confirmés et doctorants répartis en groupes thématiques, afin de faire le point sur les travaux en cours, faciliter les échanges, donner du temps à la réflexion et aux discussions, repérer les difficultés, avancer des hypothèses. Ce jour-là, nombre d’interventions ont conduit à interroger l’épistémologie de la discipline, et son rapport aux champs de recherche proches ou apparentés – Performance studies, anthropologie de l’art, ethno-esthétique, anthropologie des religions, études théâtrales, anthropologie de la danse, ethnomusicologie. Une fois de plus, s’est affirmée la nécessité de conforter la pluri et interdisciplinarité, d’affermir la complémentarité de l’expérience subjective des praticiens, et des exigences de la recherche objective. Le besoin de maintenir et de développer la coopération internationale s’est avéré indispensable dans la mesure où la multiplication des points de vue, leur croisement, incitent à considérer la plus ou moins grande partialité du local et à envisager l’universel non en tant qu’uniformité, mais révélé par la pluralité, la profusion, le mouvement.